Clémence « LAristocrate » Fadoul, Le Fils Du Consul Du Maroc (Partie 1)
Clémence était une jeune et jolie femme de 28 ans, ses parents, des aristocrates parisiens très riches avaient décidés de la marier à 25 ans, à la fin de ses études, à un homme de leur rang. Son époux Pierre-Louis, cadre administratif et financier dans une banque nationale, était encore célibataire. Ce bel homme de 42 ans avait toujours privilégié sa vie professionnelle à sa vie sentimentale. En ce qui concernait sa sexualité, il choisissait des femmes de petite vertu dans des clubs ou des soirées privées.
Clémence quant à elle, avec son physique avantageux navait pas eu de difficulté à choisir quelques petits copains avec lesquels elle avait flirté mais sa sexualité nétait pas débordante, à lâge de 19 ans, elle avait aimé un seul garçon qui lavait déflorée, elle était restée avec lui pendant trois ans. Depuis, elle navait eu que très peu daventures sans lendemain. Cependant, nombreux étaient les étudiants qui lui couraient après.
Elle était assez grande avec ses 1,68 m, mince, avec des jambes longues, un fessier galbé sans plus et avait une jolie petite poitrine ferme et un ventre plat. Son visage souriant était ravissant, elle avait des traits fins, des yeux bleu-gris, un petit nez et une bouche sensuelle. Ses cheveux châtains, mi long, ondulés coupés en dégradé avec quelques mèches claires et sa frange sur le front lui allait à ravir. Elle aimait aussi les coiffer en chignon ou avec une queue de cheval lorsquelle faisait du sport ou des loisirs. Clémence ne manquait de rien, très à laise financièrement, ils avaient une super demeure dans un parc arboré, elle avait sa gouvernante qui gérait son personnel de maison.
Pierre-Louis ne voulait pas quelle travaille et insistait pour quelle se déplace avec un chauffeur personnel mais cela, elle avait des difficultés à laccepter. Elle se sentait épiée, elle avait limpression dêtre dans une prison dorée. Cétait son époux qui gérait tout leur argent dont le sien, elle avait son propre compte bancaire personnel, cependant cétait Pierre-Louis qui lapprovisionnait au fur et à mesure afin quelle puisse faire ses propres achats vestimentaires et pour lentretien de son visage et son corps, il voulait quelle soit toujours belle.
Sexuellement parlant, cétait tout simplement une catastrophe, son mari était violent, égoïste, possessif, dominateur et jaloux de surcroit. Il ne lui avait jamais fait lamour, Pierre-Louis, lui avait dit :
Je te baiserai que pour procréer, pour le moment, il nen est pas question. Tu feras comme je voudrai.
Elle navait jamais pris dorgasme avec lui, elle devait simuler, elle ne connaissait que la sodomie, après quil lait brutalisée, étranglée et claquée ses fesses. Elle nen pouvait plus, dès le début, elle avait résisté, sétait même rebellée, elle lavait giflé mais les coups quelle reçus lui avait fait comprendre quelle était à sa merci. Afin que ses maltraitances se terminent, elle lavait dit à sa mère, seulement celle-ci lui avait avoué quelle navait connu que cela depuis son mariage. Il était donc hors de question quelle se tourne vers son père pour laider :
Tu laimes pourtant papa ?
Je ne peux pas dire que cest lamour avec un grand A, mais tu verras ma chérie, tu feras comme moi, tu ty habias.
Ce fut ainsi que vivait Clémence depuis trois ans. Son mari lemmenait partout, sauf dans les clubs et les soirées privées spéciales où elle était sous la surveillance de la gouvernante. Lorsquil la sortait, il la considérait comme une simple potiche. À certains repas daffaires, il exigeait quelle porte des vêtements très sexy afin de plaire aux clients, elle se sentait son Escort-girl. Il ne lui avait pas encore demandé de coucher avec eux mais ce nen était pas loin. « Sa jalousie len empêchait » se disait-elle. Cette vie-là nétait pas ce quelle avait espéré. (Lauteur) Je laisse Clémence parler à la première personne pour la suite du récit.
Après environ deux et demi de mariage, ça faisait près dun mois que Pierre-Louis ne mavais touchée, dun autre côté, jétais bien contente car je détestais ces parties de sexe qui me faisait subir une fois par semaine en général.
Ce week-end-là, nous étions invités à fêter ses dix ans de mariage avec sa seconde épouse Isabelle, une européenne de 12 ans sa cadette, une belle femme blanche de 36 ans, avec laquelle je métais liée damitié depuis deux ans. Cette cérémonie se déroulait dans sa propriété, un petit château du XVIIIe siècle, se situant dans le sud du département. Le château étant assez isolé et très éloigné de la capitale de région, les hôtes avaient convié un certain nombre de leurs invités, comme nous, à y passer la nuit dans les luxueuses chambres à létage.
Cette fête était prévue en fin daprès-midi dans les jardins du parc donnant sur la grande salle dédiée aux réceptions, réservée pour la soirée en cas de mauvais temps. Mais le soleil de cette fin d'été enveloppant le château de ses rayons et chauffant l'air de la campagne lui donnait un parfum de tropique, ce nétait pas la canicule, néanmoins la chaleur était bien présente et aucun nuage dans le ciel ne présageait quelques pluies.
Les invités arrivaient petit à petit, certains descendant de leur chambre par le grand escalier donnant dans le hall du château, d'autres montant les marches du perron pendant que les jolies et jeunes serveuses passaient et repassaient avec leur plateau de boissons fraiches. Je portais pour cette occasion, une robe longue fendue séparant en deux le devant laissant entrevoir le galbe d'une de mes jambes, dos nu avec uniquement deux petites bretelle laissant place à un large décolleté. Pierre-Louis adorait ce genre de robe de soirée pour le moins, extrêmement sexy.
Comme souvent, mon époux, ne pouvant sempêcher de travailler, même pendant les réceptions, était toujours en grande discussion sur son projet avec le consul et ses conseillers.
Nous étions tous les quatre sur la terrasse où se tenait le buffet, lorsquun homme dune petite cinquantaine dannées et un autre, beaucoup plus jeune, vinrent vers nous :
Pardonnez-moi de vous interrompre, mais je ne peux résister au plaisir de te saluer Isabelle. Je te présente mon fils « Boris » qui est le responsable de lorganisation de cette soirée. Comment vas-tu depuis le temps ? Surprise par cette irruption, Isabelle n'en avait pas oublié les bonnes manières, après les avoir embrassés, elle fit les présentations.
Je te présente Clémence une amie, Farah et Fadoul les s de mon mari... Je vous présente Olivier, un ami d'enfance.
La discussion entre le traiteur et Isabelle dévia sur leurs souvenirs en commun pendant que les trois jeunes de la même génération firent connaissance. Je me trouvais au milieu deux ne sachant que faire. Fadoul ne me quittait pas depuis notre arrivée et Boris le nouveau venu me dévorait du regard, tout en essayant de draguer Farah qui nen avait que faire. Tandis que je les écoutais évoquer leur jeunesse, Boris me regardait et me fixait avec envie. Il était beau, grand comme je les aimais dans son blazer blanc, porté par-dessus une chemise blanche et d'un pantalon noir de toile légère mais laudace de jeune de 24 ans me surpris.
Olivier le traiteur sexcusa, il avait dautres occupations et ne pouvait rester à cette soirée, il insista auprès dIsabelle pour lui indiquer que Boris serait son référent pour cette soirée et quil passait la nuit au château. Les deux hommes nous quittèrent, Boris se retourna une dernière fois sur moi en souriant. Ce large sourire en disait long sur ses intentions.
Jétais jeune, jaimais plaire, être désirée, tout ceci mémoustillait, dautant plus que Fadoul me collait aux basques lui aussi.
Isabelle me sortit de mes pensées érotiques, elle voulait présenter Farah et Fadoul à tous ses amis. Le jeune homme très poli lui répondit :
Si tu ne vois pas dinconvénient Isabelle, je préfère rester avec Madame Clémence de M..., elle ne connait personne ici, jai bien peur quelle sennuie.
Merci Fadoul mais je me débrouillerai, fais ce que tu as à faire. Lui dis-je sans aucune arrière-pensée.
Non ! Clémence, il a raison. Tu nas quà lui faire visiter le château, Fadoul. Dit Isabelle à son beau-fils en tirant Farah par la main.
Nous étions restés tous les deux, Fadoul attrapa deux coupes de champagne sur le plateau dune serveuse en men tendit une en disant :
Puis-je me permettre de vous proposer une coupe de ce délicieux champagne Madame de M
Si tu veux Fadoul ! Merci mais appelle-moi Clémence.
Lors de la discussion, jappris que Fadoul nhabitait pas en France, il vivait chez sa mère au Maroc et quil était venu avec sa sur célébrer les 10 ans de mariage de son père quil voyait trois fois par an. Je voyais bien que jattirais ce jeune garçon, je me devais de len empêcher, car je savais que les conséquences seraient désastreuses pour moi :
Tu dois tennuyer avec moi, tu devrais plutôt aller voir quelques petites serveuses, elles sont de ton âge et toutes bien plus jolies que moi. As-tu une petite amie au Maroc ?
Non ! Là-bas ce nest pas comme en Europe, les filles ne couchent pas. Sauf les prostituées
Tu nas jamais fait lamour ?
Madame vous me gênez
Si
mais seulement deux fois avec des putes, je ne reste jamais suffisamment en France pour avoir une copine ici. Nous repartons déjà lundi dans laprès-midi.
Voyant que je lavais quelque peu perturbé, je changeai de conversation et en lui souriant je lui proposai :
Bien ! Tu me le fais visiter ce château ?
Le deuxième étage était réservé aux chambres, il memmena donc au rez-de-chaussée, nous avons revu Boris sactiver dans limmense cuisine et ses dépendances puis arrivés au premier, il me dit quil connaissait un endroit où seul, quelques privilégiés pouvaient y accéder. Comme un gamin excité par la surprise, il me prit la main et me tira en disant :
Suivez-moi ! Je vous emmène dans une cage d'escalier secrète. Il mène directement entre les écuries et la rotonde, aux abords du parc.
Lorsque nous avions pénétré dans le vestibule, lendroit était assez sombre, Fadoul dut sarrêter brusquement afin de ne pas tomber, sans le vouloir, je fus obligée de mappuyer négligemment contre lui, nos corps étaient plaqués lun contre lautre, au moment où jallais ouvrir la bouche pour mexcuser, Fadoul posa un doigt sur mes lèvres, me sommant de ne rien dire. Il tendit le bras, alluma la lumière tout en restant contre moi, je sentais sur son bas ventre son érection et je nen fus pas surprise. Mais lorsque japerçu mon mari, dans le bureau du consul, la peur me fit me contracter, ce qui accentua ma pression contre son corps, nos lèvres nétaient quà quelques centimètres lunes de lautres, il me murmura dans loreille :
Cest une glace sans tain, ils ne peuvent pas nous voir.
Nous étions encore lun contre lautre dans une position peu orthodoxe, il me tenait par les bras, javais mes mains sur ses épaules. Il approcha un peu plus ses lèvres vers les miennes, puis posant ses mains sur mes hanches, il colla sa bouche sur la mienne en me plaquant contre le mur, attendant fébrilement ma réaction. Je métais laissée emporter dans ce délire, mes bras se nouèrent derrière sa nuque. Loin de tenter de lui échapper, son corps musclé se colla au mien, pressant immédiatement son entrejambe. Son énorme érection devait lui faire mal tant elle était forte, sa verge emprisonnée dans son pantalon, mon ventre collé au sien ne put ignorer son état dexcitation. Je me rendis compte que jétais bien consciente de l'émoi que je provoquais chez mon jeune cavalier.
Avec ce baiser qui me faisait rêver, mes hanches se mettaient à onduler, faisant danser mon bassin contre son sexe dressé en mon honneur. Mapercevant que Fadoul ne prendrait plus dinitiative, je lui pris ses mains afin quil me caresse les hanches en douceur, puis l'une d'elle remonta le long de ma taille avant de glisser dans mon dos, caressant ma peau nue. De voir Pierre-Louis à quelques mètres de moi, mexcitait au plus haut point, je le trompais en sa présence, je mouillais ma petite culotte.
Pendant ce temps, je pris son autre main et la posa et la fit glisser sur le long de ma cuisse, retroussant ma robe jusqu'à découvrir le galbe d'une cuisse gainée de nylon quil caressa délicatement, la faisant remonter de plus en plus haut jusqu'à sentir le haut de mes bas puis la peau nue d'une cuisse pour faciliter ses caresses. Lorsque la hauteur atteinte par la robe le permit, appuyé au mur, jenroulai une jambe autour de sa taille, la dégageant de tout tissu, lui permettant ainsi de me caresser sensuellement du genou jusqu'aux fesses. Il sentit la dentelle de ma petite culotte et y glissa sa main dessous afin de caresser mon intimité déjà bien humide de mon excitation.
Cela lui permit de se débrider, sa timidité première disparut, sa main dans mon dos vint explorer ma hanche puis mon flanc pour se terminer sur ma poitrine. Nous nous embrassions toujours entre nos caresses car depuis longtemps, jeffleurais à travers le tissu, du bout de mes doigts, son sexe que je sentais dur comme de la pierre. De mes doigts, je débouclai sa ceinture, et descendis le zip de sa fermeture éclair, je masturbais son long sexe en lembrassant à pleine bouche. Un soupir s'échappa de ses lèvres pendant que ma langue se mêlait à la sienne.
OUI ! Fadoul, prends-moi là tout de suite. Devant mon mari.
Il dénoua ma robe retenue derrière ma nuque en déposant un baiser dans mon cou, il fit glisser ma robe du soir jusquau sol. Puis, il en profita pour venir caresser dune main mes seins fermes, de lautre, il laissa choir son pantalon, bientôt suivi de son boxer. Je fis de même, je glissai ma petite culotte le long de mes cuisses, elle se retrouva avec ma robe à mes pieds.
Je repris mes caresses érotiques, avant de guider son membre jusquà mon vagin tandis que je me cambrais pour venir au-devant de sa grosse verge, non pas par la longueur mais par son épaisseur, elle était impressionnante en pleine érection. Il fléchit les genoux et dune poussée lente et régulière, il senfonça en moi, jusquà la garde, marrachant un râle de plaisir.
Humm... Oui ! Fadoul comme ça, cest bon ! Doucement tu es gros.
Je me cramponnai à lui et nouai mes jambes derrière son dos, ses mains sous mes fesses, il me monta un peu plus contre la tapisserie du mur, afin de rester ainsi et faciliter ses va et vient. Je me cambrais pour que son sexe puissant puisse coulisser à sa guise entre mes lèvres ouvertes en grand. Ainsi accrochés lun à lautre, il allait et venait entre mes cuisses, de toute sa longueur, variant le rythme et langle de ses pénétrations, il ressortait, ne laissant que son gland dans ma vulve, titillant mon clitoris, puis me pénétrait à nouveau lentement, senfonçant jusquà disparaitre dans mon ventre. Sa bouche jouait avec mes tétons dressés dexcitation. Mes gémissements lencourageaient à prolonger notre étreinte. Mais il était trop tard pour moi, je regardais mon mari lorsque le désir montait en moi :
Je viens...Je jouis...Oui...C'est bon...Fadoul encore...
Avec mes mots, il se retira, enleva son préservatif et éjacula sur le sol ne voulant pas salir mon corps, ni mes vêtements :
Tu sais, tu aurais pu jouir sur moi. Dis-je sans vulgarité.
Il rit membrassa et me répondit :
Cette nuit peut-être.
Fadoul se rhabilla, et quitta le vestibule en descendant lescalier pendant quil me fit ressortir à létage en me donnant rendez-vous au bar.
Lorsque jarrivais dans le hall dentrée, mon mari me cherchait :
Ah te voilà, où étais-tu ? Que faisais-tu ? Je ne peux rester cette nuit, nous avons un problème en ville et je dois absolument repartir. Ne fais pas de connerie, je le saurai, reste avec Isabelle, jenverrai le chauffeur te chercher, demain en fin de matinée.
Cette soirée nétait pas terminée pour moi, je me retrouvais sans mon mari, qui pouvait me surveiller ? Je savais que je pourrais encore prendre du plaisir avec Fadoul. Je vous raconte la suite jeudi prochain
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Clémence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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